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Lundi 28 Mai 2012 - Monaco, le point avec Gian Carlo Minardi

MONACO - Nous avons assisté à un grand prix fantastique. Après 78 tours de course six voitures ont franchis le drapeau à damier en moins de 10 secondes. Nous assistons à un championnat plus intenses et des plus serré de l'histoire de la F1, qui ce jouera jusqu'à la dernière course de la saison ou chaque point sera décisif pour le classement au championnat. Après six courses (remporté par six pilotes différents), nous n'avons pas de réel leader au championnat.

Avoir fait 78 tours sans commettre d'erreurs, même dans des conditions difficiles et avec des stratégies différentes, Sebastian Vettel a décidé de partir en soft, à l'inverse de ses concurents direct. Le départ de Grosjean était trop téméraire, il fait trop d'erreurs lors des départs il risque de ce faire rappeler à l'ordre. Dommage Lotus avait une bonne voiture, même si l'équipe devra revoir ses stratégies. Les pneus sont ce qui rend difficile toute interpretation et le travail des ingénieurs de course est plus compliqué. Nous remarquons aussi les différences entre les voitures de la même équipe.

Beau travail de Webber, Rosberg et Alonso avec cette troisième place il prend la tête du classement. Massa qui passe en Q3 et en course il ce retrouve coincé dans le groupe. Je crois que ce résultat pourrait être un regain de confiance pour lui. Je pense qu'il peut encore donner sa contribution à Ferarri, pour l'aider à entrer dans le top trois du championnat. Maintenant nous avons deux courses qui devraient être en faveur de Ferrari. La clé de voûte du grand prix a été l'adoption au 30e tour de course lorsque qu'Alonso, avant de retourner au stand, a enregistré les deux meilleurs temps au tour de la course, puis de retour en piste il passe devant Hamilton. Les mécaniciens ont été très bon, ils ont fait le travail en 3,7 sec et Fernando a fait la différence au moment décisif.

Malheureusement il à manqué deux pilotes qui aurraient pu rendre encore plus incertain le GP: Maldonado et Schumacher. Compte tenu de la performance et son fealing pour ce circuit en ville, le pilote du Venezuela aurrait du être un protagoniste de la course, tandis que l'Allemand a fait la 65eme pôle de sa carrière, ce qui prouve qu'il ne renonce pas. En un tour il a fait un chef-d'œuvre.

Dommage pour Vergne qui a payé un lourd tribut pour avoir choisi de changer les pneus à 18 tours de l'arrivée. Voyant les difficultés de son pilote, l'équipe a décidé de jouer le tout pour le tout en espérant la pluie qui ne vient pas malheureusement. Au cours des 14 derniers tours, il a perdu ses pneus, sans cet arrêt il serait arrivé dans le top 10. Il faisait une bonne course, ainsi que son coéquipier. C'est l'un des jeunes pilotes a regarder le reste de la saison. Il est sur une période intéressante de croissance à chaque course. Il souffre également des stratégies et des erreurs de son équipe, ainsi que des défaillances mécaniques répétitives.

Gian Carlo Minardi

Traduction : lesminardistes.tk

Source : http://www.minardi.it/f1-gp-monaco-il-punto-di-gian-carlo-minardi/